Ce n’est pas le « niveau » de la pathologie, ni du besoin d’accompagnement, qui suscite l’épuisement.

Le 1er levier est le plus souvent le fait de ne pas savoir se faire aider (sentiment de maitrise qui peut à tout moment s’effondrer).

Le second est de se sentir en situation de débit par rapport à la personne aidée, donc d’estimer devoir l’aider, parfois jusqu’à l’épuisement.